En tant que locataire, vous portez une grande responsabilité. Que vous habitiez dans une nouvelle construction ou dans un charmant appartement ancien, vous êtes responsable du maintien en bon état de l’appartement que vous louez. Sans une assurance responsabilité civile privée, vous devez donc, dans certaines circonstances, vous occuper vous-même des réparations ou du remplacement, ce qui peut vite devenir très coûteux.
Cela peut arriver dès l’emménagement dans votre appartement de location : En installant et en déplaçant les meubles, vous faites de vilaines rayures sur le parquet. Voici d’autres exemples de dommages fréquents chez les locataires :
Attention : l’assurance responsabilité civile privée ne couvre pas les dommages causés intentionnellement par le locataire. Les dommages locatifs causés sur une longue période par l’usure normale ne sont pas non plus pris en charge. Ainsi, vous devez typiquement payer vous-même la remise en peinture lorsque vous quittez l’appartement loué, après y avoir vécu pendant des années.
L’assurance responsabilité civile privée n’est pas seulement là pour couvrir les dommages que vous causez dans votre appartement ou maison de location. Elle vous protège également dans de nombreuses autres situations quotidiennes :
Une assurance responsabilité civile privée est très utile pour les locataires. Elle aide non seulement en cas de mésaventure dans son propre logement, mais aussi dans de nombreuses autres situations quotidiennes. Avec le bon montant de couverture et un contrat adapté à leurs besoins, ils peuvent se détendre et être sûrs d’être bien couverts en cas de sinistre.
Lorsqu’il s’agit du logement en propriété, nous évaluons généralement mal les risques. Les événements et dommages portant atteinte à l’existence même des propriétaires ne sont souvent pas, ou pas assez, assurés. Or les primes correspondantes seraient relativement avantageuses.
Pour beaucoup, l’achat d’une maison ou d’un appartement est un rêve qui devient réalité. Le chez-soi est un havre de paix et crée un sentiment de sécurité. Mais tout à la joie d’avoir son propre logement, on en oublie souvent sa couverture financière complète. Si tant est qu’on y pense, c’est surtout au risque de taux d’intérêt. On veut se protéger des fluctuations des taux d’intérêt et éviter de payer des intérêts plus élevés, par exemple en choisissant une hypothèque à taux fixe. Mais les coups du sort personnels ou les dommages causés au bien immobilier pèsent plus lourd – ils peuvent avoir des conséquences financières plus importantes. Il est possible de se protéger contre de tels événements.
La liste des dommages potentiels est longue. Parmi les risques matériels, citons notamment les dommages intentionnels dus au vandalisme, les dommages causés par les martres, rongeurs, insectes et animaux sauvages, les dégâts des eaux (p. ex. suite à des fuites dans des conduites, des aquariums, des lits à eau, etc.), le bris de glaces (y compris le bris d’installations sanitaires), le vol, les prétentions en responsabilité civile envers le propriétaire d’immeuble, la perte de gains dans le cas de biens loués, etc.
Et ce que les propriétaires immobiliers oublient très souvent: la Suisse est un pays exposé aux tremblements de terre. Selon le Service Sismologique Suisse, des séismes peuvent se produire dans tout le pays. Contrairement à la protection contre les risques naturels tels que l’eau et l’incendie, la protection contre les dommages dus aux tremblements de terre est faible, car il n’y a pas d’obligation d’assurance en la matière en Suisse. Dans presque tous les cantons, l’assurance de ces dommages relève de la responsabilité privée des propriétaires immobiliers. Ainsi, seuls 15% environ des bâtiments sont aujourd’hui assurés contre ce type de dégâts.
Il en va de nombreux risques matériels comme des risques sismiques: la couverture d’assurance présumée est incomplète. Et les propriétaires immobiliers ne savent souvent pas comment s’assurer contre le risque matériel concerné. Cela vaut aussi, par exemple, pour les dommages à la technique du bâtiment. Les propriétaires d’une maison ou d’un appartement n’en prennent souvent conscience qu’en cas de sinistre, car les assurances cantonales des bâtiments – obligatoires, sauf dans les cantons de Genève, du Valais et du Tessin et d’Appenzell Rhodes-Intérieures – couvrent principalement les dommages causés par les événements naturels tels que l’eau et l’incendie. Mais la majeure partie des dommages touchant la technique du bâtiment ont d’autres causes. Il arrive parfois que ce soit une souris qui déclenche un court-circuit!
De nombreux propriétaires ignorent qu’ils peuvent conclure une assurance complémentaire de bâtiments pour les dommages causés à la technique du bâtiment ou aux alentours (jardin, piscine, etc.). Ce complément précieux à l’assurance immobilière classique couvre aussi d’autres risques importants – tels que les dégâts des eaux qui ne découlent pas de la pénétration d’eau depuis l’extérieur mais qui surviennent à l’intérieur même du bâtiment (p. ex. rupture de conduites).
Les risques qui nous concernent en tant que personne sont au moins aussi importants que les risques matériels: si notre emploi ou notre santé devait être moins bon, comment garantir les intérêts et le remboursement de l’hypothèque? Il ne s’agit pas seulement d’événements tragiques comme l’incapacité de gain permanente (invalidité) ou le décès, qui sont au premier plan. L’incapacité de travail temporaire et la perte d’emploi sont beaucoup plus fréquents.
Ces deux risques pourraient même avoir tendance à augmenter encore. Ainsi, les maladies psychiques, par exemple, telles que stress, burnout ou dépression, qui entraînent souvent des absences prolongées au travail, n’ont cessé de croître ces dernières années. Il en va de même pour les douleurs dorsales et les hernies discales, elles aussi en augmentation. Dans le même temps, la situation économique internationale tendue laisse présager un nombre croissant de restructurations et de fermetures d’entreprises, conduisant régulièrement à des suppressions d’emplois.
De tels évènements entraînent une réduction substantielle du revenu du ménage. Or seule une partie des propriétaires immobiliers disposent d’une épargne suffisante pour faire face à une baisse durable des revenus. Pour la plupart d’entre eux, cette situation représente un sérieux défi financier.
Qu’il s’agisse de risques matériels ou liés aux personnes: les gens évaluent souvent mal les risques encourus. Il en résulte qu’ils sont surassurés dans certains domaines et sous-assurés ailleurs.
On a souvent tendance à assurer les événements les plus susceptibles de se produire, comme la perte de bagages, un écran de téléphone portable fissuré ou le fait de manquer un concert pour lequel nous avons déjà acheté un billet. Les montants en jeu sont relativement peu élevés et pourraient, en tout temps, être supportés par nous-mêmes.
Par contre, les risques plus rares, mais dont le potentiel de dommages est important, sont souvent occultés. On part du principe qu’on ne sera pas touché et on préfère économiser l’argent de la couverture d’assurance. C’est un mauvais calcul. En effet, si un tel événement survient malgré tout, il sape souvent les fondements mêmes de l’existence. Il peut engloutir toutes les économies d’un seul coup ou, dans des cas extrêmes, rendre le financement futur du prêt hypothécaire impossible. Il convient donc de se couvrir contre les risques existentiels incontrôlables.
Dans l’optique d’une meilleure prise de conscience des risques et d’une couverture optimale, il est recommandé de se faire conseiller par des experts. Un bon conseil n’est pas forcément cher: l’assurance complète d’une maison individuelle d’une valeur d’un million de francs est souvent moins onéreuse que la couv
Vous êtes assis à la terrasse d’un café, vous savourez votre café et vous êtes plongé dans la lecture. Et soudain, tout a disparu: votre téléphone portable, votre sacoche avec votre ordinateur portable, qui se trouvaient encore sur la table à côté de vous, ainsi que votre manteau avec votre porte-monnaie. Le choc est profond, la colère face au préjudice financier ne vous quitte plus. Dans le monde mobile d’aujourd’hui, nous ne sommes pas seulement équipés d’objets précieux à la maison, mais aussi en déplacement. Que se passe-t-il si on nous les vole en dehors de nos quatre murs?
C’est là qu’intervient l’assurance vol en déplacement. Elle offre une protection en cas de vol d’objets personnels que vous avez sur vous en dehors de votre domicile. Elle est souscrite sous la désignation «vol simple à l’extérieur» comme couverture complémentaire d’une assurance ménage.
Le coût de l’assurance contre le vol simple à l’extérieur varie en fonction du prestataire, de la couverture et de la franchise. Les primes annuelles varient entre moins de 50 et plus de 200 francs.
Si vous êtes souvent en déplacement et que vous emportez beaucoup de choses, comme par exemple des appareils électroniques ou sportifs coûteux, vous devriez vérifier auprès de votre assurance ménage une couverture complémentaire pour le vol simple à l’extérieur. Cette couverture complémentaire protège au moment où l’on s’y attend le moins.
Votre ordinateur portable clignote. Un nouvel e-mail est arrivé, vous annonçant que vous avez remporté un jeu concours. Vous cliquez immédiatement – et soudain votre ordinateur se bloque. Puis un message choquant s’affiche: «Toutes vos données ont été cryptées. Payez dans les 48 heures, sans quoi vos données seront perdues!»
Ce scénario n’est pas un cas isolé. En Suisse, les cyberattaques se multiplient. Et elles ne concernent pas seulement les entreprises. En tant que particuliers, nous sommes de plus en plus la cible de pirates qui visent nos données, nos finances ou notre identité numérique. Heureusement, il existe une solution: la cyberassurance pour les ménages privés. Elle offre une protection contre les conséquences financières du piratage informatique, du vol de données et du chantage numérique.
En Suisse, 95% des gens se mettent régulièrement en ligne – pour faire leurs achats, effectuer leurs opérations bancaires ou simplement pour communiquer. Or plus nous passons de temps dans l’espace numérique, plus les risques sont importants. Cela se reflète dans la statistique de la criminalité 2023 suisse: la cybercriminalité représente déjà plus de 8% de l’ensemble des infractions. À eux seuls, les cas d’hameçonnage ont enregistré une hausse particulièrement forte, à savoir de 70%. Les escrocs tentent, par le biais de faux e-mails ou SMS, d’obtenir des informations personnelles telles que mots de passe ou données de carte de crédit.
Les cybercriminels exploitent systématiquement les points faibles pour accéder à des informations confidentielles, piller des comptes en ligne ou paralyser des systèmes entiers par l’intermédiaire de logiciels malveillants (rançongiciels). La récupération des données et les dommages financiers peuvent être couverts par une cyberassurance.
Selon la compagnie d’assurance, cette couverture est proposée comme complément à une assurance inventaire du ménage ou comme police autonome. Elle peut aussi, comme pour la carte de crédit Cumulus, par exemple, faire partie intégrante des prestations de carte de crédit.
Différentes cyberassurances sont proposées sur le marché. Elles couvrent les sinistres suivants selon le cas:
Selon l’étendue de la couverture, une cyberassurance coûte de moins de 100 francs à plus de 200 francs par an. Elle est gratuite avec la carte de crédit Cumulus de Migros. Cette carte de crédit gratuite comprend les deux couvertures «Protection des comptes en ligne» et «Protection juridique en ligne», qui versent jusqu’à 10 000 francs par événement en cas de dommage pécuniaire ou d’atteinte à la personnalité.
Dans le cas d’une cyberassurance, il convient de tenir compte de certains points:
Pour les personnes qui sont beaucoup en ligne, une cyberassurance constitue une protection précieuse contre les conséquences financières et juridiques des cyberattaques. En vous protégeant suffisamment tôt et en choisissant la bonne couverture, vous pouvez non seulement sauver des données précieuses, mais aussi économiser beaucoup d’argent en cas de coup dur.
Une assurance ménage est essentielle pour se prémunir contre les dommages financiers causés par l’eau, le feu ou le cambriolage. Un risque souvent sous-estimé est la sous-assurance. Beaucoup de gens ne savent pas qu’une somme d’assurance trop faible peut, en cas de sinistre, les laisser avec une grande partie des coûts du dommage sur les bras. Dans cet article, vous apprendrez ce que signifie la sous-assurance en assurance ménage, quels sont les risques qui y sont liés et comment vous pouvez les éviter.
Il y a sous-assurance lorsque la valeur réelle du mobilier est supérieure à la somme d’assurance convenue.
En cas de sinistre, cela peut avoir de graves conséquences, car l’assurance ne prend en charge qu’une partie des frais encourus. Par exemple, si l’ensemble de votre inventaire vaut 100 000 francs, mais que vous n’avez déclaré qu’une somme d’assurance de 50 000 francs, l’assurance ne paiera que la moitié des dommages.
Même en cas de dommage partiel, le montant sera réduit proportionnellement. Concrètement : si, dans l’exemple ci-dessus, un dommage de 30 000 francs survient, malgré une somme d’assurance de 50 000 francs, ce n’est pas la totalité du dommage qui est payée, mais seulement la moitié. On se retrouve donc avec des frais non couverts de 15’000 francs, à payer de sa propre poche. Cela peut rapidement devenir une charge financière, surtout en cas de dommages coûteux, comme un incendie ou un dégât des eaux important.
La principale cause de la sous-assurance est que de nombreux clients de l’assurance sous-estiment la valeur de leur mobilier. Les meubles, les appareils électroniques, les vêtements et de nombreux autres objets ménagers s’additionnent souvent pour atteindre une valeur plus élevée qu’on ne le pense à première vue.
À cela s’ajoute le fait que la valeur de l’inventaire du ménage augmente au fil des ans, à mesure que l’on acquiert de nouveaux objets, sans que la somme assurée ne soit adaptée. Une autre erreur fréquente est que les clients des assurances choisissent consciemment ou inconsciemment une somme d’assurance trop faible lors de la conclusion du contrat afin d’économiser des primes mensuelles. Or, cela peut finalement coûter cher.
Pour ne pas être déçu par l’assurance en cas de sinistre, il est important d’éviter la sous-assurance. Voici cinq précieux conseils pour assurer correctement votre mobilier et choisir le bon montant d’assurance:
Une première étape importante consiste à dresser une liste d’inventaire détaillée. Il s’agit de répertorier tous les objets de votre ménage, y compris les meubles, les vêtements ainsi que les appareils électroniques et ménagers. Les petits objets comme la vaisselle ou les livres devraient également être répertoriés, car ils jouent un rôle dans la valeur totale.
Il est conseillé de vérifier régulièrement la valeur de son inventaire de ménage, notamment après des achats importants. Si vous achetez de nouveaux meubles, des appareils électroniques ou des objets de valeur, vous devriez adapter la somme assurée en conséquence. De nombreuses assurances proposent également des outils ou des calculateurs spéciaux à cet effet, qui vous permettent de déterminer rapidement et facilement la valeur de votre inventaire de ménage.
Certains assureurs offrent la possibilité d’inclure une renonciation à la sous-assurance dans le contrat. Cela signifie qu’en cas de sinistre, l’assurance renonce à réduire l’indemnisation, même si la valeur réelle du mobilier est supérieure à la somme assurée. Cette option vous offre une protection supplémentaire et peut vous faire économiser beaucoup d’argent en cas de doute.
Les objets particulièrement chers ou précieux, comme les bijoux ou les antiquités, devraient être assurés séparément ou du moins être pris en compte spécialement dans l’assurance ménage. C’est important, car la couverture d’assurance standard ne suffit souvent pas à couvrir entièrement de tels objets de valeur.
Utilisez des outils en ligne et des calculateurs d’assurance pour obtenir une estimation réaliste de la valeur de votre mobilier. Ces calculateurs se basent souvent sur le nombre de mètres carrés de votre logement et vous aident à déterminer un montant d’assurance suffisant.
La sous-assurance en matière d’assurance ménage représente un risque sérieux que de nombreux clients de l’assurance sous-estiment. Pour ne pas rester sur une partie des coûts en cas de sinistre, il est important de déterminer la valeur de l’inventaire du ménage de manière réaliste et de la vérifier régulièrement. Avec une liste d’inventaire détaillée, une somme d’assurance appropriée et une éventuelle renonciation à la sous-assurance, vous pouvez vous assurer que votre couverture d’assurance sera suffisante en cas de coup dur.
En bref: un crédit privé permet de surmonter simplement des difficultés financières passagères. Mais que se passe-t-il si, à ce moment précisément, un problème de santé ou dans votre vie professionnelle limite votre capacité de paiement, et donc vos possibilités financières? Pour parer à cette situation, la «Couverture du paiement de crédit privé Migros» offre une protection complète à un prix attrayant.
Vous avez besoin d’une nouvelle voiture ou devez réaménager votre appartement? À moins qu’un traitement médical onéreux et non pris en charge par la caisse maladie ne s’impose inopinément? Parfois, il ne manque pas grand-chose et pourtant, cela peut suffire à mettre à mal le budget de votre ménage. Un crédit privé permet de surmonter simplement des difficultés financières passagères. Il est aussi indiqué si vous disposez des moyens financiers nécessaires, mais que votre argent est investi et que vous n’avez donc pas de liquidités suffisantes au moment même.
Or si un événement imprévu tel qu’une maladie, un accident ou la perte de votre emploi survient en plus, cela pourrait entraîner une baisse sensible du revenu et remettre en question le paiement de vos mensualités de crédit. Vous pouvez vous prémunir contre ce risque de manière simple et avantageuse avec la «Couverture du paiement de crédit privé Migros».